dans les rangs des combattants,
errent de pauvres enfants,
a qui l'on aurait préféré apprendre le chant
celui qui berce nos enfants.
si dieu mettait sa main,
et faisait basculer leur destin,
les lendemains serait sereins.
mais c'est l'arme à la main,
que ces enfants tuent et se font tuer.
jamais de fin,
ils ne connaissent que la faim.
nous n'avons que nos yeux pour les pleurer,
tandis que leur mère les ramassent à la petite cuillère.
je pousse un crie de colère,
eux un crie de guerre.
ces champs de misère n'appelle qu'à la fureur,
celle de l'impuissance et de la peur.
errent de pauvres enfants,
a qui l'on aurait préféré apprendre le chant
celui qui berce nos enfants.
si dieu mettait sa main,
et faisait basculer leur destin,
les lendemains serait sereins.
mais c'est l'arme à la main,
que ces enfants tuent et se font tuer.
jamais de fin,
ils ne connaissent que la faim.
nous n'avons que nos yeux pour les pleurer,
tandis que leur mère les ramassent à la petite cuillère.
je pousse un crie de colère,
eux un crie de guerre.
ces champs de misère n'appelle qu'à la fureur,
celle de l'impuissance et de la peur.